Le Temps reviews Julian’s performance of Schumann and Milhaud as part of Bellerive Festival last week complimenting the velveteen sounds of his clarinet.

Julian Bliss, que l’on se souvient avoir entendu quand il avait 14 ou 15 ans au Verbier Festival, est un clarinettiste accompli. Sa sonorité ronde et claire, qu’il façonne en gerbes de notes comme en demi-teintes très subtiles, se prête autant aux Fantasiestücke opus 73 de Schumann qu’à la Suite pour clarinette, violon et piano op.157b de Darius Milhaud. Il n’est jamais dans la démonstration et cherche plutôt à fondre son souffle à celui de ses partenaires. On admire ces nuances piano qu’il est capable de réaliser, afin de varier la couleur d’un thème, ou ces sonorités de velours qu’il tire de son instrument, en alternance avec des passages plus brillants.”

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